Chauffage électrique : le calcul du DPE enfin ajusté !

La réforme annoncée le 10 juillet 2025 par le Premier ministre marque un tournant majeur pour nos clients et tous les propriétaires de logements chauffés à l’électricité : le coefficient de conversion utilisé dans le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) passe de 2,3 à 1,9, dès le 1ᵉʳ janvier 2026.

Nous saluons chez DS Gestion, comme la FNAIM, un changement qui est une justice énergétique, autant qu’une avancée écologique puisque l’électricité en France produit peu de carbone. C’est surtout une excellente nouvelle pour les biens qui se sont retrouvés classés en G à cause du coefficient du chauffage électrique et qui vont pouvoir remonter d’une lettre. 

Chauffage électrique : le calcul du DPE enfin ajusté !

La réforme annoncée le 10 juillet 2025 par le Premier ministre marque un tournant majeur pour nos clients et tous les propriétaires de logements chauffés à l’électricité : le coefficient de conversion utilisé dans le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) passe de 2,3 à 1,9, dès le 1ᵉʳ janvier 2026.

Nous saluons, comme la FNAIM, un changement qui est une justice énergétique, autant qu’une avancée écologique puisque l’électricité en France produit peu de carbone. C’est surtout une excellente nouvelle pour les biens qui se sont retrouvés classés en G à cause du coefficient du chauffage électrique et qui vont pouvoir remonter d’une lettre. 

Le changement du coefficient du chauffage électrique : un ajustement très attendu

L’électricité était désavantagée par un calcul très sévère : 

  • Le coefficient de 2,3 multiplie les consommations réelles, alors que les énergies fossiles ne sont pondérées qu’à 1, créant une discrimination injuste ;

  • En 2023, la FNAIM et des parlementaires dénonçaient ce biais, qualifié de « distorsion technique » punissant particulièrement les petits logements urbains ;

  • Résultat : de nombreux studios T1/T2 sont classés F ou G, et menacés d’interdiction à la location, malgré une consommation réellement faible.

Avec la réforme, des centaines de milliers de logements vont voir leur diagnostic évoluer, ce qui est une très bonne nouvelle pour les propriétaires de ces biens mais aussi pour ceux qui pensent à en acquérir pour un investissement locatif dans un marché de l’acquisition submergé par les « passoires thermiques »

 

Les conséquences directes du nouveau calcul : 

  • Environ 850 000 logements actuellement classés F ou G (sur 5,8 millions au total) sortiront de la catégorie « passoires thermiques » ;

  • Exemple concret : un logement consommant 196 kWh/m²/an (F/G) passerait à 372 kWh/m²/an (F) selon les nouveaux calculs ;

  • Les propriétaires pourront rester en location sans travaux urgents, jusqu’à 2028 ou 2034 selon la nouvelle classe attribuée. 

Le changement du coefficient du chauffage électrique : un ajustement très attendu

L’électricité était désavantagée par un calcul très sévère : 

  • Le coefficient de 2,3 multiplie les consommations réelles, alors que les énergies fossiles ne sont pondérées qu’à 1, créant une discrimination injuste ;

  • En 2023, la FNAIM et des parlementaires dénonçaient ce biais, qualifié de « distorsion technique » punissant particulièrement les petits logements urbains ;

  • Résultat : de nombreux studios T1/T2 sont classés F ou G, et menacés d’interdiction à la location, malgré une consommation réellement faible.

Avec la réforme, des centaines de milliers de logements vont voir leur diagnostic évoluer, ce qui est une très bonne nouvelle pour les propriétaires de ces biens mais aussi pour ceux qui pensent à en acquérir pour un investissement locatif dans un marché de l’acquisition submergé par les « passoires thermiques

DPE article ds gestion rambouillet

Les conséquences directes du nouveau calcul : 

  • Environ 850 000 logements actuellement classés F ou G (sur 5,8 millions au total) sortiront de la catégorie « passoires thermiques » ;

  • Exemple concret : un logement consommant 196 kWh/m²/an (F/G) passerait à 372 kWh/m²/an (F) selon les nouveaux calculs ;

  • Les propriétaires pourront rester en location sans travaux urgents, jusqu’à 2028 ou 2034 selon la nouvelle classe attribuée. 

Une bonne nouvelle pour les propriétaires et les investisseurs

Il y a plusieurs avantages évidents pour nos clients à cet ajustement du coefficient de conversion de l’électricité : 

  • Une revalorisation automatique du bien, avec une hausse de 5 à 15% de sa valeur sur le marché ;
  • Une levée du gel sur les prix des loyers, et potentiellement de l’interdiction de louer si la note du bien est réhaussée grâce à cela et que le bien sort du statut de passoire thermique
  • Une attractivité locative accrue, notamment auprès des locataires soucieux de l’environnement.

 

Et pour les investisseurs : 

  • L’achat de ce type de biens dans l’immédiat offre un potentiel de plus-value immédiate à la revente ; 
  • Mais surtout les logements classés F ou G deviennent une opportunité d’investissement locatif, car ils peuvent devenir rentables sans travaux immédiats

 

Une bonne nouvelle pour les propriétaires et les investisseurs

Il y a plusieurs avantages évidents pour nos clients à cet ajustement du coefficient de conversion de l’électricité : 

  • Une revalorisation automatique du bien, avec une hausse de 5 à 15% de sa valeur sur le marché ;
  • Une levée du gel sur les prix des loyers, et potentiellement de l’interdiction de louer si la note du bien est réhaussée grâce à cela et que le bien sort du statut de passoire thermique
  • Une attractivité locative accrue, notamment auprès des locataires soucieux de l’environnement.

 

Et pour les investisseurs : 

  • L’achat de ce type de biens dans l’immédiat offre un potentiel de plus-value immédiate à la revente ; 
  • Mais surtout les logements classés F ou G deviennent une opportunité d’investissement locatif, car ils peuvent devenir rentables sans travaux immédiats

 

Comment ajuster votre stratégie d'investissement locatif ?

Pour les experts de DS Gestion, cette réforme du DPE est un signal stratégique et financier fort pour les investisseurs immobiliers, que ce soit un investissement locatif ou pour de l’achat revente. Elle corrige enfin l’injustice technique que subissaient nos clients, et ont eu un impact majeur sur leur rentabilité jusqu’à présent, mais elle permet aussi d’envisager de nouvelles marges de manœuvre. Ainsi, nous accompagnons nos clients dans leurs démarches à la lumière de ces nouveaux éléments :

  • Conserver les biens classés F ou G. Nous les incitons à prévoir des travaux sur les E et F au même titre que pour les G, car même si ce n’est pas urgent c’est important de le prévoir au budget pour ne pas se laisser surprendre et perdre en rentabilité.
  • Pour tous ceux qui souhaitent alimenter leurs investissement locatifs, nous portons ce nouveau coefficient à leur connaissance. Cela pèse dans la balance, surtout dans un contexte où le marché est noyé de biens considérés comme des passoires énergétiques ou en passe de l’être.
    Ils sont donc plus attentifs aux biens classés E, F ou G chauffés à l’électricité dans leurs recherches, et intègrent cela dans leur négociation pour l’obtention de prêts
  • Nous encourageons les clients propriétaires d’un bien chauffé à l’électricité à faire refaire un DPE dès janvier 2026 quand le nouveau coefficient sera en application, car cela peut leur permettre de remettre leur bien en location ou d’augmenter le loyer à date anniversaire du bail si leur loyer avait jusqu’à présent été limité par leur DPE, ou simplement parce que le bien aura été revalorisé de 5 à 15%.